Vaccins infectieux : un avertissement ⋆ Brownstone Institute

  • par
Vaccins infectieux : un avertissement ⋆ Brownstone Institute
Spread the love

Depuis deux décennies, les scientifiques développent discrètement des vaccins infectieux auto-propagatifs. Le NIH a financé cette recherche, qui soit emballe l’ADN d’un agent pathogène mortel dans un virus contagieux mais moins nocif, soit affaiblit la létalité du virus mortel en le concevant dans un laboratoire.

Les « vaccins » qui en résultent se propagent d’une personne à l’autre comme un virus respiratoire contagieux. Seulement cinq pour cent de la population régionale auraient besoin d’être vaccinés ; les autres quatre-vingt-quinze pour cent « attraperaient » le vaccin lorsqu’il se propagerait d’une personne à l’autre par transmission communautaire.

Cette technologie contourne les désagréments des citoyens récalcitrants qui peuvent refuser leur consentement. Ses partisans soulignent qu’une campagne de vaccination de masse qui prendrait normalement des mois et des efforts coûteux pour immuniser tout le monde pourrait être réduite à quelques semaines seulement.

Les scientifiques ont déjà démontré la preuve de concept dans les populations animales : en 2000, des chercheurs espagnols ont injecté à soixante-dix lapins un vaccin transmissible et les ont relâchés dans la nature, où ils ont rapidement transmis le vaccin à des centaines d’autres et auraient stoppé une épidémie de virus. Les pays européens testent actuellement la technologie sur des porcs.

Dans le sillage de la pandémie de Covid, une douzaine d’instituts de recherche aux États-Unis, en Europe et en Australie étudient les utilisations potentielles des vaccins auto-propagés chez l’homme. Par exemple, la Federal Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) étudie cette technologie pour l’armée américaine afin de se protéger contre la fièvre de Lassa ouest-africaine, un virus qui se transmet des rats aux humains. Il est à noter que ce projet ne nécessite pas l’approbation de nos militaires.

En 2019, le gouvernement britannique a commencé à rechercher cette technologie pour lutter contre la grippe saisonnière. Les recherches du Department for Health and Social Care du Royaume-Uni suggèrent que les étudiants universitaires pourraient être un groupe cible évident :

Ils ne fonctionnent pas comme ça [vaccinating them] ne causera pas de perturbation économique majeure et la plupart ont des résidences secondaires où se rendre, propageant le vaccin.

Les chercheurs ont admis qu’un vaccin contagieux contre un virus de la grippe affaibli entraînerait des décès, mais ont estimé que ceux-ci seraient moins nombreux que le virus de la grippe d’origine. Comme le décrit le rapport du gouvernement britannique :

Les vaccins auto-propagés sont moins létaux, mais pas non létaux : ils peuvent tout de même tuer. Certaines personnes mourront qui auraient autrement survécu, bien que moins de personnes meurent dans l’ensemble.

Comme le dit le proverbe, on ne fait pas d’omelette sans casser quelques œufs. Ou pour reprendre l’expression de Lénine : Lorsque vous abattez une forêt, les copeaux de bois s’envolent. Les vaccins infectieux sont dans notre avenir, affirment leurs partisans, et ne sont pas différents de l’ajout de fluorure dans l’eau potable. De plus, moins d’aiguilles sont nécessaires pour ceux qui trouvent les piqûres inconfortables.

Recherche financée par le gouvernement sur des virus fabriqués en laboratoire pour développer des vaccins contagieux et auto-propagatifs qui contournent le consentement des citoyens. Qu’est-ce qui pourrait mal tourner ?

  • Aaron Kheriaty, ancien professeur de psychiatrie à l’École de médecine de l’UCI et directeur de l’éthique médicale à l’UCI Health, est chercheur principal au Brownstone Institute.

    CONTINUER LA LECTURE


Abonnez-vous à Brownstone pour plus de mises à jour


#Vaccins #infectieux #avertissement #Brownstone #Institute

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *