Dans le projet de bilan économique pour l’année 2023, le gouvernement a indiqué que le PIB devrait croître de 1,6% en 2023, contre 2,2% en 2022.
Ce niveau de croissance est attribué au ralentissement de l’activité dans le secteur manufacturier orienté vers l’exportation, compte tenu de la baisse de la demande extérieure de l’Union européenne, partenaire commercial de la Tunisie, en plus de la baisse continue de la production du secteur des hydrocarbures, alors qu’il on s’attend à ce qu’une croissance modérée soit enregistrée pour la plupart des autres secteurs productifs, selon le texte de l’accord obtenu par Mosaic. sur une copie de celui-ci.
Le gouvernement a indiqué que sur cette base, le revenu par habitant tunisien atteindra 13 688,9 dinars en 2023, soit l’équivalent de 4 277,8 dollars américains.
Le schéma de croissance pour l’année 2023, selon le projet de bilan économique pour l’année prochaine, est basé sur une augmentation de la valeur ajoutée du secteur agricole de 1,3% à prix fixes, sur la base de l’hypothèse de production d’environ 19 millions de quintaux de céréales de la campagne 2023, contre 17,9 millions de quintaux lors de la saison 2022, et la production de 1240 mille tonnes d’olives. Pétrole contre 1180 mille tonnes pour la saison en cours, et la production d’environ 372 mille tonnes de dattes la saison prochaine contre 368 mille tonnes pour la saison en cours, et la production de 480 mille tonnes d’agrumes pendant la prochaine saison contre 345 milliers de tonnes au cours de l’année 2022.
Le gouvernement a ajouté que l’année prochaine verra la poursuite des efforts visant à consacrer la sécurité alimentaire en plus de la mise en œuvre des axes de la politique agricole, qui repose notamment sur la consécration de l’exploitation durable des ressources naturelles tout en renforçant la capacité d’adaptation aux changements climatiques et au développement du secteur de la pêche et de l’aquaculture et au soutien de la production et de la productivité.
La tendance de croissance pour l’année 2023, selon le même document, repose également sur une augmentation de la valeur ajoutée du secteur industriel de 1,5% en raison du ralentissement de la valeur ajoutée des industries manufacturières tournées vers l’exportation en lien avec la baisse de la demande extérieure et la baisse naturelle des stocks de carburant en l’absence d’exploration, de recherche et d’innovation.
Le gouvernement a indiqué l’importance des efforts déployés pour soutenir la compétitivité des entreprises actives dans les secteurs du textile, de l’habillement et du cuir dans le cadre de l’adoption de la charte de compétitivité du secteur, en plus de l’activation de la charte de partenariat entre les secteurs privé et public faire progresser la compétitivité du secteur de la fabrication de composants automobiles. L’année à venir verra également des progrès dans les secteurs porteurs, l’innovation et le développement technologique, ainsi que des progrès dans la mise en œuvre du plan d’action visant le passage à l’industrie de quatrième génération et à l’industrie intelligente et propre.
La tendance de croissance pour l’année 2023 repose également sur la croissance de la valeur ajoutée dans le secteur des services de 1,8%, soit à un rythme supérieur au rythme d’évolution du PIB, grâce à l’amélioration relative de la production dans la quasi-totalité des secteurs productifs, selon au texte du document.
Le gouvernement s’attend à ce que le secteur du tourisme retrouve son ancienne vitalité en 2023, parallèlement à la poursuite de la diversification de l’offre touristique pour améliorer le positionnement de la Tunisie en tant que destination touristique, ainsi qu’au développement du tourisme écologique, culturel et désertique, du tourisme de congrès, de la kinésithérapie à l’eau de mer. , le tourisme d’hospitalisation et le développement du tourisme alternatif dans la région du sud-est. Il est également prévu que l’année prochaine verra le développement de l’activité dans le secteur des transports avec toutes ses composantes, en particulier le transport du fer, à la suite de l’entrée de la ligne du réseau ferroviaire à grande vitesse au stade de l’exploitation, et des terres transport dans le cadre de la modernisation du parc de bus.
Le gouvernement a souligné que ces résultats restent liés à la mesure dans laquelle les réformes nécessaires et importantes sont mises en œuvre pour surmonter la crise économique et sociale et rétablir le rythme normal de la croissance en stimulant la mobilité économique et en développant la performance des unités de production.
Le gouvernement a souligné que le retour au niveau du produit intérieur brut enregistré durant la période d’avant la crise sanitaire nécessite une nouvelle amélioration du taux de croissance, en ciblant les capacités latentes dans de nombreux secteurs et en accélérant l’entrée en vigueur de la nouvelle stratégie sectorielle, notamment les activités porteuses. à haute valeur ajoutée.
La bien-aimée et les oreilles
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