Ahmed Al-Amiri, chef de la Chambre des bouchers, a démenti les déclarations du doyen des médecins vétérinaires selon lesquelles 30 % du cheptel bovin souffre de tuberculose, soulignant que ce pourcentage est exagéré.
Il a poursuivi : « Tous les abattoirs de la Grande Tunisie et de certains États sont surveillés, mais il y a des abattoirs au hasard dont nous ne savons rien, et ils peuvent être un espace pour abattre une vache infectée par la tuberculose ».
Il a déclaré : « Comment un vétérinaire peut-il dire que le bœuf infecté par la tuberculose ne constitue pas une menace pour la santé du consommateur après la cuisson ? Ces déclarations sont complètement déraisonnables.
Al-Amiri a confirmé que tous les abattoirs municipaux sont surveillés, mais cela ne signifie pas qu’il n’y en a pas d’autres au hasard, et que la Chambre a exigé et exige que les bouchers reçoivent un certificat d’abattage marqué par un vétérinaire à chaque abattage.
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