Hier, lundi 7 novembre 2022, le Parquet du Tribunal de Première Instance de la Manouba a autorisé la détention de deux personnes et l’inclusion de trois autres dans l’inspection, dont une fille, afin de digérer le côté d’un agent public tout en dans l’exercice de ses fonctions et d’attaquer avec une extrême violence à l’aide d’un instrument tranchant un agent de sécurité affilié au point de sécurité de l’Institut Al-Qassab pour la réparation et la correction. Des membres de la police d’urgence de la Manouba, selon une source sécuritaire confirmant à « Watt ».
Cela survient après l’ouverture d’une enquête de sécurité sur l’incident de la blessure d’un agent de sécurité à l’abdomen et un autre au cou par 7 personnes, qui ont demandé l’aide d’un patient indigène dans un quartier d’Ariana, à la suite d’une escarmouche avec une infirmière au institut précité.
En écoutant l’infirmier et le reste des témoins et des deux victimes, l’identité de toutes les parties, dont 3 s’étaient échappées, a été identifiée, et le parquet a autorisé la détention de deux d’entre eux et l’inclusion des fugitifs dans l’inspection.
Il est rapporté que les agents de sécurité susmentionnés sont intervenus après une escarmouche entre un patient qui a donné une fausse identité et un infirmier du service des urgences de l’Institut Al-Qassab, où ce dernier a sollicité l’aide des membres de sa famille qui ont prêté serment et agressé les deux agents avec un objet pointu.
*watt
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