La Ligue tunisienne de défense des droits de l’homme a condamné ce qu’elle considère comme « des violences injustifiées des forces de sécurité, lors des manifestations populaires pacifiques ».
L’association a confirmé jeudi dans un communiqué son refus de « déférer à la justice les accusations qui ne sont pas étayées par des preuves et preuves, telles que l’atteinte à la propriété d’autrui, sans preuve et l’agression d’agents sans certificats médicaux », ainsi que son refus de « renvoyer sous l’Ordonnance suprême de 1954 le temps de la protection, pour réprimer les mouvements de popularité de la part du colonisateur.
Il a appelé Salt et le ministre de l’Intérieur à « cesser l’usage de la violence systématique par les forces de sécurité envers le mouvement social pacifique et à tenir les agresseurs responsables, afin d’établir l’impunité et de les tenir responsables des complications et des développements qui pourraient Il a également demandé la libération de tous les détenus.
Dans un autre volet de son communiqué, la Ligue tunisienne de défense des droits de l’homme a fait part de sa « grande préoccupation » face à la fréquence des mouvements sociaux dans de nombreuses régions et régions du Grand Tunis, comme le quartier Tadamon, Al-Intilaqah, Al-Zahrouni , le quatrième quartier de Zohour, Mornag, Zarzis et Bizerte, accompagné d’attaques sécuritaires contre des manifestants et d’arrestations de dizaines de citoyens. L’association a appris qu’ils ont été victimes de violences et d’atteintes à leur intégrité physique, et que nombre d’entre eux ont été déférés à la justice.
Après avoir rappelé sa position de soutien aux mouvements sociaux pacifiques, la Ligue a affirmé sa condamnation « des violences accompagnant les arrestations, rafles et enlèvements de militants, à l’image de ce qui s’est passé le 19 octobre 2022, à un membre de la branche Bardo de l’Association , Saif Al-Ayadi, par quatre personnes en civil et l’emmenant dans la zone de la Garde nationale par solidarité », selon le texte. Déclaration.
*watt
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