Aujourd’hui, jeudi, le ministère de la Justice a précisé qu’il n’avait reçu aucune demande de réunion officielle émise par la Fédération internationale des juges ou son président honoraire, et qu’il n’avait reçu aucune notification de leur part concernant la visite.
Le ministère a ajouté, dans un communiqué qu’il a publié, que les déclarations diffusées concernant l’incapacité des institutions de l’État à répondre à la demande de rencontrer le président honoraire de la Fédération internationale des juges sont sans fondement et qu’elles ont pour but de fausser et de déformer, expliquant que le fonctionnaire les rencontres avec les représentants d’organismes et d’organismes étrangers se déroulent selon des modalités précises soumises aux usages diplomatiques. Et le ministère des Affaires étrangères, qui est assuré par le Département de la coopération internationale du ministère.
Dans le même contexte, a-t-elle ajouté, en examinant le ministère des Affaires étrangères, en tant qu’organe officiel autorisé à accepter les demandes d’organismes officiels étrangers de rencontrer des responsables de l’État, il a été vérifié qu’aucune demande de réunion officielle n’a été déposée par la voie diplomatique. par toute partie étrangère.
Elle a ajouté que le dépôt d’une notification de visite présentée par une association tunisienne n’est pas une demande officielle à cet effet tant qu’elle n’a pas été émise par l’autorité étrangère concernée et par la voie diplomatique qui garantit la souveraineté de l’Etat.
A noter que le président de l’Association des magistrats tunisiens, Anas Al-Hammadi, a déclaré hier à l’agence TAP que « Christophe Renard », l’envoyé officiel de la Fédération internationale des magistrats, qui est en visite en Tunisie, a trouvé une mauvaise surprise , représenté par l’incapacité des institutions de l’État à répondre à la demande de les rencontrer, ajoutant que le programme de sa visite comprenait des réunions avec des organes officiels tels que le président de la République, le ministre de la Justice et le président du Conseil supérieur de la magistrature intérimaire , mais ces partis « n’ont pas accepté d’avoir des rencontres avec Christophe Renard, ce qui représente un préjudice majeur pour la position du pays au niveau international ».
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