Le mouvement Tunisie en avant a estimé, dans un communiqué publié aujourd’hui, mercredi, que la gravité des données contenues dans la conférence de presse du ministère de l’Intérieur, « appelle à l’inévitabilité d’accélérer la divulgation détaillée de toutes les données liées aux crimes déclarés ». », d’autant plus qu’il porte atteinte à la sécurité du pays, et vise le Président de la République et les institutions de l’État, dont la Présidence de la République.
Le mouvement a fermement condamné les opérations annoncées par le ministère de l’Intérieur, qu’il considérait comme « révélant les dangers de conspirer et d’intimider les puissances étrangères, et d’entraîner le pays sur la place de la violence, dans une tentative désespérée de frapper toutes les voies de transition qui construit sur des bases pacifiques, civiles, démocratiques et sociales.
Elle a appelé les Tunisiens, les forces progressistes et les forces de sécurité et militaires à être constamment vigilants et à protéger l’unité nationale de toutes les manifestations de violence et de terrorisme, « auxquels des partis bien connus ont toujours eu recours chaque fois que l’étau se resserrait ». comme elle l’a dit.
Il est à noter que le ministère de l’Intérieur a révélé, lors d’une conférence de presse tenue aujourd’hui, mercredi, la disponibilité de données sur l’existence « d’un stratagème visant le président de la République en sa personne, son entourage ou l’institution de la présidence ». de la République, dans le but de porter atteinte à la sécurité publique, et l’implication d’acteurs internes et externes dans ce stratagème », ajoutant qu’il a été exécuté. Hier jeudi, une opération qui pourrait être qualifiée d’opération « terroriste » a été déjouée devant un établissement sensible de la rue Al-Hurriya, dans laquelle était impliquée une personne au casier judiciaire, avant que les unités de sécurité n’aient pu l’arrêter.